Genre

Pseudochelidon

1 espèces

Pseudolangrayens

Le genre Pseudochelidon est formé de deux espèces d'oiseaux appelés pseudolangrayens et proches parents des hirondelles. Il constitue une sous-famille particulière, celle des Pseudochelidoninae, au sein de la famille des Hirundinidae. Les deux espèces le composant sont le Pseudolangrayen d'Afrique (Pseudochelidon eurystomina), trouvé en République du Congo et au Gabon, et le Pseudolangrayen d'Asie (Pseudochelidon sirintarae), connu seulement sur un site en Thaïlande.

Ce sont des Hirundinidae de taille moyenne au plumage principalement noir, qui ont un vol léger et qui se nourrissent d'insectes capturés en vol. Ces oiseaux semblent être plus terrestres que les autres genres d'hirondelles, car on les observe plus souvent au sol que perchés, et l'espèce asiatique pourrait être de mœurs crépusculaires. L'espèce africaine creuse des trous pour faire son nid dans les bancs de sable des rivières, tandis que les sites de reproduction et les habitudes de l'espèce asiatique ne sont pas connus.

Lorsque le Pseudolangrayen d'Afrique a été découvert au XIXe siècle, Gustav Hartlaub le rapproche des rolles, et il est plus tard placé soit dans sa propre famille, ou avec les langrayens. L'étude de son anatomie a ensuite révélé que l'espèce était plus proche des hirondelles, mais qu'elle possédait un certain nombre de traits distinctifs, comme ses pattes robustes et son gros bec, ce qui lui a valu d'être placée dans une sous-famille distincte. Les deux pseudolangrayens sont généralement considérés comme appartenant à un seul genre, Pseudochelidon, en raison de leurs nombreuses similitudes structurelles. Cependant, Richard Kendall Brooke a proposé de placer le Pseudolangrayen d'Asie dans un genre monotypique propre, Eurochelidon.

L'espèce africaine a une aire de répartition restreinte, mais semble être localement trouvée en grand nombre, bien que son véritable statut n'ait pas été entièrement déterminé. L'espèce asiatique a été découverte en 1969 et n'est connue que de spécimens et d'observations anecdotiques ; aucun ornithologue moderne n'a vu l'espèce à l'état sauvage, et ses zones de reproduction sont inconnues. L'espèce a peut-être disparu, mais une possible observation a été signalée en 2004.

Pseudolangrayens

Le genre Pseudochelidon est formé de deux espèces d'oiseaux appelés pseudolangrayens et proches parents des hirondelles. Il constitue une sous-famille particulière, celle des Pseudochelidoninae, au sein de la famille des Hirundinidae. Les deux espèces le composant sont le Pseudolangrayen d'Afrique (Pseudochelidon eurystomina), trouvé en République du Congo et au Gabon, et le Pseudolangrayen d'Asie (Pseudochelidon sirintarae), connu seulement sur un site en Thaïlande.

Ce sont des Hirundinidae de taille moyenne au plumage principalement noir, qui ont un vol léger et qui se nourrissent d'insectes capturés en vol. Ces oiseaux semblent être plus terrestres que les autres genres d'hirondelles, car on les observe plus souvent au sol que perchés, et l'espèce asiatique pourrait être de mœurs crépusculaires. L'espèce africaine creuse des trous pour faire son nid dans les bancs de sable des rivières, tandis que les sites de reproduction et les habitudes de l'espèce asiatique ne sont pas connus.

Lorsque le Pseudolangrayen d'Afrique a été découvert au XIXe siècle, Gustav Hartlaub le rapproche des rolles, et il est plus tard placé soit dans sa propre famille, ou avec les langrayens. L'étude de son anatomie a ensuite révélé que l'espèce était plus proche des hirondelles, mais qu'elle possédait un certain nombre de traits distinctifs, comme ses pattes robustes et son gros bec, ce qui lui a valu d'être placée dans une sous-famille distincte. Les deux pseudolangrayens sont généralement considérés comme appartenant à un seul genre, Pseudochelidon, en raison de leurs nombreuses similitudes structurelles. Cependant, Richard Kendall Brooke a proposé de placer le Pseudolangrayen d'Asie dans un genre monotypique propre, Eurochelidon.

L'espèce africaine a une aire de répartition restreinte, mais semble être localement trouvée en grand nombre, bien que son véritable statut n'ait pas été entièrement déterminé. L'espèce asiatique a été découverte en 1969 et n'est connue que de spécimens et d'observations anecdotiques ; aucun ornithologue moderne n'a vu l'espèce à l'état sauvage, et ses zones de reproduction sont inconnues. L'espèce a peut-être disparu, mais une possible observation a été signalée en 2004.

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Pseudolangrayens

Le genre Pseudochelidon est formé de deux espèces d'oiseaux appelés pseudolangrayens et proches parents des hirondelles. Il constitue une sous-famille particulière, celle des Pseudochelidoninae, au sein de la famille des Hirundinidae. Les deux espèces le composant sont le Pseudolangrayen d'Afrique (Pseudochelidon eurystomina), trouvé en République du Congo et au Gabon, et le Pseudolangrayen d'Asie (Pseudochelidon sirintarae), connu seulement sur un site en Thaïlande.

Ce sont des Hirundinidae de taille moyenne au plumage principalement noir, qui ont un vol léger et qui se nourrissent d'insectes capturés en vol. Ces oiseaux semblent être plus terrestres que les autres genres d'hirondelles, car on les observe plus souvent au sol que perchés, et l'espèce asiatique pourrait être de mœurs crépusculaires. L'espèce africaine creuse des trous pour faire son nid dans les bancs de sable des rivières, tandis que les sites de reproduction et les habitudes de l'espèce asiatique ne sont pas connus.

Lorsque le Pseudolangrayen d'Afrique a été découvert au XIXe siècle, Gustav Hartlaub le rapproche des rolles, et il est plus tard placé soit dans sa propre famille, ou avec les langrayens. L'étude de son anatomie a ensuite révélé que l'espèce était plus proche des hirondelles, mais qu'elle possédait un certain nombre de traits distinctifs, comme ses pattes robustes et son gros bec, ce qui lui a valu d'être placée dans une sous-famille distincte. Les deux pseudolangrayens sont généralement considérés comme appartenant à un seul genre, Pseudochelidon, en raison de leurs nombreuses similitudes structurelles. Cependant, Richard Kendall Brooke a proposé de placer le Pseudolangrayen d'Asie dans un genre monotypique propre, Eurochelidon.

L'espèce africaine a une aire de répartition restreinte, mais semble être localement trouvée en grand nombre, bien que son véritable statut n'ait pas été entièrement déterminé. L'espèce asiatique a été découverte en 1969 et n'est connue que de spécimens et d'observations anecdotiques ; aucun ornithologue moderne n'a vu l'espèce à l'état sauvage, et ses zones de reproduction sont inconnues. L'espèce a peut-être disparu, mais une possible observation a été signalée en 2004.

Pseudolangrayens

Le genre Pseudochelidon est formé de deux espèces d'oiseaux appelés pseudolangrayens et proches parents des hirondelles. Il constitue une sous-famille particulière, celle des Pseudochelidoninae, au sein de la famille des Hirundinidae. Les deux espèces le composant sont le Pseudolangrayen d'Afrique (Pseudochelidon eurystomina), trouvé en République du Congo et au Gabon, et le Pseudolangrayen d'Asie (Pseudochelidon sirintarae), connu seulement sur un site en Thaïlande.

Ce sont des Hirundinidae de taille moyenne au plumage principalement noir, qui ont un vol léger et qui se nourrissent d'insectes capturés en vol. Ces oiseaux semblent être plus terrestres que les autres genres d'hirondelles, car on les observe plus souvent au sol que perchés, et l'espèce asiatique pourrait être de mœurs crépusculaires. L'espèce africaine creuse des trous pour faire son nid dans les bancs de sable des rivières, tandis que les sites de reproduction et les habitudes de l'espèce asiatique ne sont pas connus.

Lorsque le Pseudolangrayen d'Afrique a été découvert au XIXe siècle, Gustav Hartlaub le rapproche des rolles, et il est plus tard placé soit dans sa propre famille, ou avec les langrayens. L'étude de son anatomie a ensuite révélé que l'espèce était plus proche des hirondelles, mais qu'elle possédait un certain nombre de traits distinctifs, comme ses pattes robustes et son gros bec, ce qui lui a valu d'être placée dans une sous-famille distincte. Les deux pseudolangrayens sont généralement considérés comme appartenant à un seul genre, Pseudochelidon, en raison de leurs nombreuses similitudes structurelles. Cependant, Richard Kendall Brooke a proposé de placer le Pseudolangrayen d'Asie dans un genre monotypique propre, Eurochelidon.

L'espèce africaine a une aire de répartition restreinte, mais semble être localement trouvée en grand nombre, bien que son véritable statut n'ait pas été entièrement déterminé. L'espèce asiatique a été découverte en 1969 et n'est connue que de spécimens et d'observations anecdotiques ; aucun ornithologue moderne n'a vu l'espèce à l'état sauvage, et ses zones de reproduction sont inconnues. L'espèce a peut-être disparu, mais une possible observation a été signalée en 2004.

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